Mars-2037
© Richard Haughton

MARS-2037

Distribution

Spectacle tout public  à partir de  6 ans 

Écriture et mise en scène : Pierre Guillois
Composition musicale : Nicolas Ducloux
Assistante à la mise en  scène : Lorraine Kerlo Aurégan
Assistante artistique en tournée : Frédérique Reynaud

 

Durée du spectacle : 1H45

 

 

 

Comédiens-chanteurs
Jean-Michel Fournereau : De Faïa
Magali Léger  : Helen
Charlotte Marquardt : Vénus
Quentin Moriot : Miguel
Élodie Pont : Liza
Pierre Samuel : Pavel

Musiciens
Matthieu Benigno : Percussions, le Commissaire-priseur, un journaliste, Chœur
Nicolas Ducloux ou Alissa Duryée : Clavier, un/une journaliste
Chloé Ducray ou Claire Galo-Place : Harpe, une journaliste, Chœur
Gabrielle Godart : Clavier, une journaliste, Voix de l’ordinateur de bord, Chœur
Jérôme Huille ou Grégoire Korniluk : Violoncelle, un journaliste

 

Et avec Lorraine Kerlo Aurégan et Émilie Poitaux ou Stéphane Le Tallec : Agents de station, Serviteurs de Vénus, manipulation des marionnettes 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

MARS-2037 comédie musicale spatiale

En 2037, l’homme le plus riche du monde dépense toute sa fortune pour un voyage sans retour vers la planète Mars. Avec lui, trois astronautes, une poule et un robot. Il laisse à terre une fille folle de rage de voir son héritage partir dans la fumée de la fusée. Tout l’équipage vit un rêve inouï, suspendu par la microgravité au milieu de la Voie Lactée qui brille de ses 200 milliards d’étoiles. La planète rouge les attend, hostile pourtant mais qui incarne la promesse de la première colonie humaine de l’espace.

Mais bientôt les ennuis s’enchaînent : le milliardaire perd la boule et met en péril ses coéquipiers ; une pluie de diamants venue de Neptune  heurte le vaisseau et condamne l’équipage à un sommeil sans fin tandis que, sur Terre, l’héritière frustrée use de toute sa malignité pour récupérer son argent, fut-ce au tréfonds du système solaire.

Alors que rêve et réalité se mêlent dans cette nuit infinie, que d’étranges créatures hantent les cauchemars des astronautes, que la musique féérique prend des allures de requiem, la possibilité d’atterrir sur Mars semble de plus en plus relever de la science-fiction. L’humour et la fantaisie permettront-ils aux spationautes d’échapper aux étranges songes provoqués par les vents solaires ou est-ce tout bêtement l’amour, le merveilleux amour, qui sauvera ces humains du désastre martien ?

Une virée intergalactique

Une impressionnante machinerie théâtrale plonge le public dans la beauté renversante d’une virée intergalactique. Les spectateurs se retrouvent au cœur du vaisseau qui file parmi les étoiles, au milieu des corps qui échappent aux lois de l’attraction terrestre et flottent dans l’espace. Nous perdons les notions de haut et de bas, de réel et d’irréel tandis que nos héros chavirent vers un monde régi par de nouvelles règles.
La voix des chanteurs nous attire contre toute raison vers un abysse intersidéral. Nous planons, perdons pied, connaissons le vertige de l’apesanteur au gré des variations de l’orchestre.
La comédie musicale d’anticipation se meut en fable cosmique où se réalisera peut-être le fantasme de l’Homme foulant Mars en chantant.

Monter une comédie musicale est un rêve.

Aller dans l’espace en est un autre. Raconter l’un avec l’autre confine au fantasme. L’espace abrite les espoirs d’une fuite pour l’humanité, il est aussi le synonyme d’un vide fatal à l’homme. Par le hublot géant, les astronautes scrutent cette éternelle nuit noire parsemée d’étoiles. Le chant semble une évidence face à l’état contemplatif de l’homme orphelin de la Terre.Un improbable orchestre accompagne l’interrogation de ceux qui se sentent de moins en moins terriens mais plus que jamais humains, happés soudain par une ultra conscience existentielle.Au gré de ce voyage dans le firmament, l’euphorie s’empare de l’équipage et la fable philosophique alterne avec le music-hall cosmique. Un véritable conte spatial se met en oeuvre où le sublime et le trivial sont naturellement entremêlés.

© Richard Haughton

 

La pièce en image

Distribution

Equipe de création et de tournée

Scénographie Audrey Vuong
Costumes Axel Aust, assisté de Camille Pénager
Lumières François Menou
Création sonore et vidéo Loïc Le Cadre
Chorégraphies Armelle Ferron
Maquillages Catherine Saint-Sever
Créatures extra-terrestres Carole Allemand Delassus assistée de Franck Rarog
Robot Sébastien Puech assisté de Delphine Cerf, Eduardo De Gregorio et Franck Demory
Logos Fabrizio La Rocca

Conception vols et supervision reconstruction du décor Stéphane Lemarié
Direction technique Fabrice Guilbert
Construction décor, costumes et perruques Stadttheater Klagenfurt, Autriche
Modifications décor Atelier du Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique, Nantes
Machines de vol Atelier blam, Nantes
Régie générale en tournée  Fabrice Guilbert
Régie  lumière  Anthony Lampin
Régie plateau  Stéphane Lemarié, Didier Le Barazer, Émilie Poitaux ou Stéphane Le Tallec
Régie son et vidéo  Loïc Le Cadre
Habillage  Louise Leder Cariou

Diffusion Séverine André Liebaut
Responsable de production Marie Chénard
Chargée de production Fanny Landemaine / Margaux du Pontavice
Administration générale Sophie Perret
Communication Anne Catherine Favé-Minssen

Crédit photos : © Richard Haughton  

Cession des droits pour la promotion du spectacle 

Utilisation presse nationale, régionale, presse gratuite, dossier de presse, programme de spectacle, brochure, site Internet, affiches etc.

Toute utilisation commerciale doit faire partie d’un accord préalable entre la compagnie, le photographe et l’organisme diffuseur.

Production

Compagnie le Fils du Grand Réseau

Coproductions (en cours)

Stadttheater Klagenfurt, Autriche
Le Volcan, Scène nationale du Havre
Théâtre National de Bretagne, Rennes
Théâtre de Cornouaille, Scène nationale de Quimper – Centre de création musicale
Les Célestins – Théâtre de Lyon
Le Quartz, Scène nationale de Brest
Maison des Arts de Créteil et du Val-de-Marne
Maison de la Culture de Nevers Agglomération
Scènes Vosges – Communauté d’agglomération Epinal
Le Grand R, scène nationale de La Roche-sur-Yon

Remerciements

Opéra national de Paris – Mélanie Lemoine – Allan Sartori et Pédro Ferreira da Silva

 

Soutiens :

MARS – 2037, comédie musicale spatiale a reçu le soutien du Ministère de la Culture, de l’ADAMI, du Fonds de Création Lyrique, La culture avec la copie privée  et de la Région Bretagne

L’ADAMI
« L’Adami gère et fait progresser les droits des artistes-interprètes en France et dans le monde. Elle les soutient également financièrement pour leurs projets de création et de diffusion. ».

Le FONDS DE CRÉATION LYRIQUE, créé en 1990, s’est assigné pour but de réactiver un mouvement de productions d’oeuvres d’aujourd’hui qui a pu, parfois, faire défaut dans certains Théâtres lyriques. Initié par la SACD, le FCL a su réunir quatre partenaires, chacun apportant sa contribution : le Ministère de la Culture et de la Communication, l’ADAMI, le FCM et la SACD qui en assure la gestion.

La Compagnie Le Fils du Grand Réseau est conventionnée par le Ministère de la Culture – DRAC de Bretagne

Documents à télécharger

L’ histoire

En 2037, l’homme le plus riche du monde dépense toute sa fortune pour un voyage sans retour vers la planète Mars. Avec lui, trois astronautes, une poule et un robot. Il laisse à terre une fille folle de rage de voir son héritage partir dans la fumée de la fusée. Tout l’équipage vit un rêve inouï, suspendu par la microgravité au milieu de la Voie Lactée qui brille de ses 200 milliards d’étoiles. La planète rouge les attend, hostile pourtant mais qui incarne la promesse de la première colonie humaine de l’espace.

Mais bientôt les ennuis s’enchaînent : le milliardaire perd la boule et met en péril ses coéquipiers ; une pluie de diamants venue de Neptune  heurte le vaisseau et condamne l’équipage à un sommeil sans fin tandis que, sur Terre, l’héritière frustrée use de toute sa malignité pour récupérer son argent, fut-ce au tréfonds du système solaire. Alors que rêve et réalité se mêlent dans cette nuit infinie, que d’étranges créatures hantent les cauchemars des astronautes, que la musique féérique prend des allures de requiem, la possibilité d’atterrir sur Mars semble de plus en plus relever de la science-fiction.

L’humour et la fantaisie permettront-ils aux spationautes d’échapper aux étranges songes provoqués par les vents solaires ou est-ce tout bêtement l’amour, le merveilleux amour, qui sauvera ces humains du désastre martien ?